Jeudi 5 avril 2012 à 7:10

Un nom un prénom...
Des souvenirs, beaux puis amers.
Marqué au fer il faut croire.
Je ne me débarrasse pas aussi facilement de ce que j'ai pu ressentir.
Monsieur J.L...
Un beau salaud, un bel hypocrite.
5 ans et ça me perturbe encore, c'est quand même malheureux, faut dire que par la suite j'ai enchainé.
Je ne pense pas qu'il faille regretter d'avoir aimé, bien que ça n'ait été que dans un sens, après tout ça a quasiment toujours été à sens unique.
"On oublie rien, on vit avec"

Mercredi 28 décembre 2011 à 7:15

En gros ça va.
C'est ça le plus bizarre, et puis on est jamais totalement content de ce qu'on a.


2012 !

Mouarf! ça promet !
Nouvel appart', futur boulot (long terme)...
En s'épargnant les mauvais côtés ça devrait être bien.
Le quart de siècle se profile
25 ans
Et après c'est LA FIN DU MOOOONDE !!!
Pourtant les scientifiques ont prévus qu'à partir de 2017 le réchauffement climatique se sera irrémédiablement emballé,
mais si on crève tous avant, la planète aura peut être une chance de se rétablir.

Bref ! Vivement 2012 !

Joyeux anniversaire!
Joyeux Noël !
Et une bonne année !

Dimanche 21 août 2011 à 21:10

Après tout, on aspire tous à être peinard.

Dimanche 20 mars 2011 à 13:36

Je finirai bien un jour par  oublier que j'ai ce blog et il s'effacera de lui même. On verra bien.
See you.

Mardi 28 décembre 2010 à 8:54

C'est bizarre, c'est le genre de jour où tu te dis que t'as eu beaucoup de merdes dans l'année qui s'est écoulée, et puis pour lui rendre justice tu trouves quand même que les bons moments n'auraient pas pu être mieux.

Une espèce de sombre mélancolie qui te bouffe au fond du ventre, toujours ces souvenirs comme gravés dans le marbre de ma mémoire.

Au final c'est assez pesant de réaliser que certains trucs ne s'en iront peut être jamais de ma mémoire, c'est peut être aussi pour ça que j'essaie de me la flinguer mais bon, je me rends compte que depuis le Collège je porte en moi les marques du mépris de certains.

Mais qui sait, il s'agit peut être aussi d'un système de préservation qui me souffle d'être prudent et d'arrêter de croire que les gens peuvent être fondamentalement bons, gentils, ou soucieux de ne pas blesser leurs pairs. Et pourtant, même si je me méfie de plus en plus, je n'arrive pas à m'ôter cette pensée utopiste de la tête, même malgré ceux que j'ai pu croiser, je n'arrive toujours pas à savoir si c'était juste des connards pour lesquels ma souffrance ne représentait rien, ou s'ils n'étaient pas eux même infoutus de voir dégâts et conneries qu'ils m'ont fait.

Bref, Tic-tac, le temps passe, et presque rien ne s'efface, c'est chaud d'avancer en trainant avec soi de pareils poids.

Heureusement j'ai quand même droit à un peu de bonheur dans ce monde de merde et tant mieux parce que ça va deux secondes de s'en prendre plein la gueule ^^.

Aux improbables qui auront lu ces lignes, je vous souhaite une bonne fin d'année.


<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast